Eternelle beauté de l'âme sereine
J'ai délibérément plagié le titre d'un film récent (Eternel sunshine of the spotless mind...) pour ce billet. je reviens d'un bref séjour dans le Lot où le temps a été, pour le moins, mitigé. Un dimanche terriblement pluvieux nous a cependant laissé entrevoir le soleil, pas plus que quelques minutes, et j'ai saisi l'appareil photo :
Certaines légendes concernent l'arc-en-ciel à cause de sa beauté et de la difficulté d'expliquer ce phénomène avant le traité de Galilée sur les propriétés de la lumière. On le mentionne dans la Bible (Genèse, IX:12-17) comme signe d'engagement de Dieu avec l'humanité.
En mythologie grecque, c'est un chemin fait par une messagère, Iris, entre la terre et le ciel (on retrouve ce nom dans le terme espagnol : arco iris). De même dans la mythologie nordique où celui ci, appelé Bifröst (Chemin Tremblant), est un pont pour rejoindre Asgard, le royaume des dieux.
On dit que la cachette secrète de l'or du leprechaun irlandais est à l'extrémité de l'arc-en-ciel. Enfin, en mythologie chinoise, l'arc-en-ciel est une fente dans le ciel qui est scellée par la déesse Nuwa en utilisant des pierres de plusieurs couleurs différentes. (Source : Wikipedia)
Quelle que soit l'histoire choisie, la beauté de l'arc-en-ciel ne manque jamais de nous toucher. Et de demeurer avec nous. « Toute beauté est une joie éternelle », dit le poète John Keats. « La douleur passe, la beauté reste », répond Renoir.