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Les Trois Mondes
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20 janvier 2010

Le Calvaire et la Révolte

chemin_forestier

L'homme suit son chemin
Et avance dans le changement.
De sa souffrance naît le mouvement,
L'impermanence des suites sans fin.

Il court dans les prés et les champs.
Au milieu des arbres, il pleure sa douleur
De voir fleurir les absences des temps
Les goûts des absinthes dans son cœur

Il frôle la voie des extrêmes
Sans les transcender pour sa contradiction,
Il navigue dans l'océan des émotions
liées à l'attachement à soi-même.

L'année des décisions est là, comme un combat,
Comme une révolte contre l'inéluctable,
Le pouvoir de certains sur l'électorat
Depuis des temps immémoriales.

La cellule elle-même semble condamnée,
Pervertie par le conditionnement des élitistes
Déterminés à diriger le monde damné
Qu'ils ont fabriqué contre les spiritualistes.

Ils ne pourront rien contre la sagesse immuable
Qui ne leur appartient pas mais réside en eux.
Ils vont et viennent contre eux-mêmes, imperméables
A la Justice immanente, le lieu des Dieux.

Alain Thomas

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Commentaires
M
Pourquoi renier ?<br /> C'est un poème chargé d'émotion, de gravité et de souffrance .<br /> La souffrance est personnelle mais aussi universelle, c'est pourquoi on ne peut rester indifférent ...
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E
Toute la souffrance d'un homme de coeur.
Répondre
A
Ce poème n'est pas, juste un cri, entâché d'une faute de langage, d'orthographe et donc de rime.<br /> Il fallait lire "imméroriaux" et non imméroriales".<br /> Le whisky, sans doute...<br /> Et la peur.<br /> Je n'aime pas ce texte.
Répondre
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