17 juin 2009
Tout est simple
J'habite une forêt profonde
Les glycines poussent chaque année un peu plus
Nulle préoccupation mondaine ne m'atteint
Parfois un bûcheron chante
Je recouds ma robe de moine au soleil
Je lis des poèmes à la lumière de la lune
Je voudrais dire aux hommes
Que pour être heureux peu de choses sont nécessaires.
Ryokan, Le chemin vide, Vie et poèmes d'un moine Zen, Chemins de sagesse, Dervy
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